Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
imadmedia
29 août 2005

la guerre du rif Guerre du rif, conflit opposant

la guerre du rif

Guerre du rif, conflit opposant les Rifains aux Espagnols et aux Français (1921-1926). Le Maroc a été le dernier pays du Maghreb à être placé sous tutelle coloniale. L’acte de protectorat, signé à Fès en 1912, répartit le pays en deux zones, le Nord sous domination espagnole, le Sud attribué à la France. Dès 1921, dans le Rif, région montagneuse du Nord, l’ancien cadi de Mélilla, Abd el-Krim, se rebelle contre les Espagnols en organisant le soulèvement de la tribu des Beni Ourriagel. Défaits par deux fois, notamment à Anoual en juillet 1921, les Espagnols sont contraints de se replier sur Tétouan. À cette époque, aucune action n’est encore menée en zone Sud. Pourtant, inquiet de l’ampleur de cette insurrection, le maréchal Lyautey constitue au nom de la France des postes avancés, principalement au nord de l’Ouergha, afin de protéger la ligne Fès-Taza. Abd el-Krim en tire argument pour l’accuser d’agression contre le Rif. En 1925 ont lieu les premières attaques contre les Français à Taza, préservée de justesse. Désavoué par Paris, Lyautey est remplacé par le maréchal Pétain qui, envoyé au Maroc en qualité de chargé de mission d’observation, organise la riposte française. Avec l’appui des troupes espagnoles du dictateur Primo de Rivera, 160 000 hommes sont engagés pour mettre un terme aux velléités indépendantistes des Rifains. Encerclé à Targust, défait à Alhucemas, le chef des rebelles se rend aux autorités françaises en mai 1926, ce qui met fin à la guerre du Rif.

-parole d'averroés

Si les paroles de Dieu sont vraies et si elles nous invitent au raisonnement philosophique qui conduit à la recherche de la vérité, il en résulte certainement pour l'homme de Foi que le raisonnement philosophique ne nous mène pas à une conclusion contraire à la vérité divine, car si l'une est vérité et l'autre vérité, la vérité ne peut contredire la vérité mais s'harmonise avec elle et témoigne en sa faveur Averroès

-Je pense donc je suis

cette formule - la plus célèbre de toutes en philosophie - découle logiquement de la généralisation du doute. Car si je peux douter de toutes choses, y compris des vérités mathématiques, je ne peux pas douter que je doute, ou que c'est moi qui doute. Par conséquent, ce moi qui doute existe. Certes, il n'existe peut-être pas « en chair et en os », puisque l'existence des choses sensibles a été mise en doute, il se peut que je rêve et que tout ce que j'attribue à ma nature soit faux. Mais il est impossible que, pensant voir toutes les choses, je ne sois pas ou je n'existe pas, moi qui pense ainsi les voir, les toucher et les sentir.

Les conséquences de ce raisonnement, si simple en apparence qu'il en paraît tautologique, sont considérables. D'ailleurs la plupart des philosophes qui ont adressé à Descartes (sur sa demande) des objections à ses Méditations ont manifesté leur étonnement devant cette démarche qui inverse, semble-t-il, l'ordre naturel des choses : les choses extérieures ne précèdent-elles pas la pensée que l'esprit en a ? ne faut-il pas qu'il existe un monde extérieur pour que son idée se trouve dans l'esprit ? Non, leur répond Descartes, l'existence de ce monde est extrêmement vraisemblable tant qu'on n'en doute pas, mais elle ne résiste pas à un doute radical et général, alors que seule la pensée de celui qui doute possède la certitude absolue recherchée en métaphysique. Comme il faut commencer par ce qui est le plus certain, le cogito devient avec Descartes le premier principe de la philosophie, « la terre ferme, dit Descartes, sur laquelle j'ai posé les fondements de ma philosophie ». Un nouveau continent s'est alors découvert à lui.

« Ne m'avouerez-vous pas que vous êtes moins assuré de la présence des objets que vous voyez, que de la vérité de cette proposition : Je pense, donc je suis ? Or cette connaissance n'est point un ouvrage de votre raisonnement, ni une instruction que vos maîtres vous aient donnée ; votre esprit la voit, la sent et la manie. » Lettre de mars ou avril 1648 à Silhon

- Liberté d’expression au maroc vue par amnesty international

Des informations ont fait état de restrictions persistantes à la liberté d’expression, s’agissant tout particulièrement des questions liées à la monarchie et au conflit du Sahara occidental. Plusieurs journalistes travaillant pour des journaux et magazines indépendants, comme Tel Quel, ont été condamnés à des peines d’emprisonnement avec sursis ou à de lourdes amendes. Fait sans précédent, les autorités marocaines ont empêché l’accès aux sites Internet de plusieurs associations internationales qui prônent l’indépendance du Sahara occidental.

Ali Lmrabet, journaliste et ancien prisonnier d’opinion, s’est vu interdire l’exercice de sa profession pour une durée de dix ans et a été condamné à une lourde peine d’amende après avoir été déclaré coupable de violation du Code pénal et du Code de la presse. Premier journaliste marocain à visiter les camps de réfugiés administrés par le Front Polisario dans le sud-ouest de l’Algérie, Ali Lmrabet avait rédigé un article dans lequel il affirmait que les Sahraouis étaient des réfugiés, et qu’ils n’étaient pas retenus en captivité comme les autorités marocaines l’avaient longtemps prétendu. Il a ensuite été accusé de diffamation envers le porte-parole d’une organisation marocaine qui fait campagne en faveur de la « libération » des Sahraouis qui vivent dans les camps.

Publicité
Commentaires
M
salam malih labss <br /> www.videorif.canalblog.com<br /> www.rifainzohra.canalblog.com
X
Bonjour, <br /> <br /> Félicitations pour votre site qui est vraiment bien conçu! J'ai créé un annuaire de blogs et si vous souhaitez vous y inscrire voici l'adresse: http://netblog.webtoweb.fr !<br /> <br /> Bonne continuation
Publicité
Archives
Publicité